AfricaMax fait partie des quelques musiquettes que j'ai composées en 1988 avec des moyens très simples, alors que je découvrais l'informatique musicale. (Max… parce que le logiciel que j'avais utilisé, entre autre, s'intitulait Max)
Deux idées présidaient alors à la confection de ces petites musiques "de variété". La première et la plus importante était de donner l'impression de musiques très simples, alors que leur structure était parfois complexe. Faire disparaître les formes, les harmonies, les contrepoints, les rythmes sous un glacis d'improvisation et de "chanson" était le plus important.
La deuxième idée était d'inclure, de manière plus ou moins audible, des dialogues pris dans des films. Dans AfricaMax, par exemple, on entend des conversations qui proviennent du film La Discrète, avec Fabrice Luchini. J'avais proposé cette pièce à mon amie, qui était strip-teaseuse (et africaine), pour son numéro. Elle a refusé, me traitant de fou. Je n'ai jamais compris pourquoi.
Énormément de charme dans cette pièce apparemment si "gentille".
RépondreSupprimer(Et la strip-teaseuse a eu tort.)
Merci de votre commentaire.
RépondreSupprimerJe ne sais pas si elle a eu tort, mais j'aurais beaucoup aimé la voir officier sur ma musique…